• Il s'est installé dans sa vie
    Insidieusement, sans faire de bruit
    Lorsqu'elle était une petite fille
    Et que son papa est parti
     
     
    Elle ne saura jamais s 'aimer
    Pour elle, c'est bien trop compliqué
    Ne sera pas une " Intello "

    Et joue seulement avec les mots
    Qu'elle vous offre comme un cadeau
    Pour vous faire oublier vos maux
     
    Elle n'a rien d'autre à vous offrir
    Hormis peut- être son doux sourire
    Quelques vers en délicatesse
    Un doux moment en allégresse
     
    Elle n'a pas  le talent d' RIMBAUD
    N'arrive pas à la cheville d' HUGO
    Écrit avec son ressenti
    Et confie ses rêves à la Vie.

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  •  
    Lorsque j'arriverai au terme du voyage
    Surtout ne pleurez pas, laissez partir mon âme
    La Vie est une farce qui sait nous faire souffrir
    Vous qui êtes près de moi, offrez moi vos sourires
     
    Comme vous le savez tous, je n'aime que les couleurs
    Et que depuis toujours, j'ai le noir en horreur
    Evitez, s'il vous plaît, les vêtements tristes et noirs
    Mettez de la couleur, elle nous parle d'espoir.
     
    J'ai traversé la Vie et tous ses aléas
    Elle n'a été pour moi, qu'une longue suite de combats
    J'ai aligné des mots pour combattre mes maux
    Et les exorciser, sans le moindre repos.


    Je me suis accrochée pour vivre ma Passion
    Ecrivant chaque jour, jusqu'à la déraison
    Maintenant que j'arrive à la fin du voyage
    Je sais qu'au fond de moi, je suis devenue sage

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  • Et je cherche mes mots sans le moindre repos
    J'en ai fait mes amis, ils sont toute ma Vie
    Mais parfois, ils se cachent ou partent en voyage
    Je suis désemparée, le cœur tout chaviré
     
    Et j'implore mes mots qu'ils ne deviennent pas maux
    Mon cerveau s'est figé, je le sens fatigué
    Devant ma page blanche, j'écoute le silence.
     
    Et je cherche mes mots sans le moindre repos
    Je les vois s'approcher et puis se déliter
    Sans que j'aie eu le temps même de réaliser
     
     
    Et j'implore mes mots qu'ils ne deviennent pas maux
    Permettez moi d'écrire, de trouver le sourire
    Cela fait des années que vous me faites rêver
    Et que je vous partage pour réchauffer mon âme.
    Texte protégé

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  •  
    Il part à la rencontre de tous ces pauvres hères
    Qui trainent leurs galères jusque dans les bas- fonds
    La rue est dangereuse, elle attise la misère
    La drogue étant pour eux, l'ultime solution.


    Sans le moindre repos, il sillonne la ville
    S'enfonçant chaque soir dans des quartiers sordides
    Dans une main le portable, dans l'autre le volant
    Il essaie d'apporter de l'aide aux pauvres gens.


    Il lutte de toutes ses forces, accusant le système
    De ne pas regarder dans la bonne direction
    Quand chaque nuit qui passe, il a le cœur qui saigne
    De voir partir le monde en pleine déraison

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  • Un Dimanche de fous rires
    Un Dimanche de plaisir
    Un Dimanche entre Amis
    Un Dimanche plein de Vie


    Un Dimanche de partages
    Un Dimanche de ripailles
    Un Dimanche à placer au fond de sa mémoire


    Un Dimanche plein de couleurs
    Qui a banni le noir
    Un Dimanche à garder tout au fond de son cœur
    Un Dimanche qui est synonyme de Bonheur.


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  • Au Marquis Gaëtan de la Tour du Pin



    Marquis,

    Qu'entends-je ?

    Qu'ouïs-je ?

    Vous êtes épris, paraît-il, de la Marquise Florimène de Beauregard ? Vous avez osé lever les yeux sur elle ?

    Mais, vil manant, scolopendre vermoulu, vous ne méritez en rien les faveurs de cette dame dont je suis, depuis bien des lustres, le galant attitré.

    Avez-vous conquis le saint Graal, mené croisade, êtes-vous général ou même prince ?

    Que nenni, vous n'êtes qu'un ambitieux qui avez l'audace de me priver du bonheur de mes jours, la divine Marquise.

    Vous ne l'emporterez pas en paradis !

    Un duel au pistolet ou à l'épée élira celui qui aura l'honneur de courtiser Florimène.

    Je sais que vous tremblez, à présent.

    Vous êtes moins faraud.

    Attendez mes témoins, j'attends les vôtres.

    Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne (ces mots sont tellement beaux que je suis sûr qu'ils passeront à la postérité), nous nous rencontrerons au pré.

    Le sang coulera.

    Que Dieu préserve le véritable Amour !


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