• Comme une Renaissance

    Le ciel se couvre d'encre, la Nature en souffrance,
    Appelle de ses vœux une pluie bienfaisante.
    Les éclairs illuminent une voute divine.
    Zeus se met en colère pour protéger la terre.
     
    Des roulements de tonnerre traversent l'atmosphère.
    Les oiseaux se sont tus, cachés dans les feuillus.
    Le sol est assoiffé, les fleurs se sont fanées
    Et meurent doucement dans ce trop chaud printemps.
     
    Le vent s'est invité en cette fin de journée
    Et ride avec violence le cours d'eau en partance
    Formant des tourbillons qui entrent dans la danse
    Comme un joli ballet nous chantant l'espérance.
     
    Le ciel rejoint la terre qui souffre en silence
    De sécheresse à outrance.
    Dans l'orage qui fait rage, la pluie en chef d'orchestre
    Met la nature en fête
     
    Les animaux cachés attendent pour s'abreuver
    Les plantes se gorgent d'eau, c'est le plus beau cadeau.
    Un sublime arc en ciel illumine le ciel
    En ce début de nuit, tout revient à la vie.

    Texte protégé
    22 Mai 2020
     
     

    « Drôle d'époqueJ'écris »

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