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Tu as traversé la Vie
Doucement, sans faire de bruit
Avec ton cœur en bandoulière
Tu as fais fi de ses misères
Une Vie faite de petits riens,
De joies de peines et de chagrins
De douceur au petit matin
Et de l'Amour de ton prochain.
Petite Mère, tu as été
Le modèles de nos journées
Tu m'as appris à regarder
Bien au-delà des apparences
Et dans ce monde tout en souffrances
Tu as prôné la Tolérance
Petite Mère, tu es partie
Et tu nous laisse anéantis
Tu n'voudrais pas nous voir pleurer
Toi qui aimait tellement chanter.
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Un simple coup de fil et ma Vie s'illumine
L'instant où le virtuel va devenir réel
Dans ce monde de Poètes, où s'invite le rêve
Une douce réalité semble se dessiner
Un échange journalier à travers quelques mots
Nous offre du soleil comme simple cadeau
Humoriste atypique, peut-être un peu lunaire
Il fait jaillir le rire qui claque comme le tonnerre
Un périple annoncé, un voyage programmé
Gentillesse assumée, sincérité innée
Se balade dans la Vie avec tous ses Amis
En toute liberté, il profite de la Vie.
Un petit restaurant dans un endroit charmant
Un moment hors du temps, un beau jour de printemps
L'Amitié en partage qui traverse les âges
Le temps s'est arrêté, souvenirs inoubliables
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De plus en plus inexistante
Elle engendre de la souffrance
Dans ce monde en désespérance
Qui s'habitue à son absence
Pourtant elle est indispensable
Pour éviter de nombreux drames
Puisque chacun est différent
Peut-être garder son âme d'enfant.
On devient individualiste
Outre notre confort, rien n'existe
Et devient problématique
Dans cette Société utopique.
La Tolérance, elle est innée
Et vit dans notre Société
Elle fait partie de notre vie
Même si parfois, on l'oublie.
La tolérance est une vertu
Qu'on cherche à tous les coins de rue
Et apporte de la douceur
Dans ce monde qui perd ses valeurs
Un mot qui chaque jour, se perd
Dans un égoïsme sans limite
Et qu'on ne sait plus comment faire
Pour que de nouveau, il existe.
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Je vous fais mes adieux
Je vais vers d'autres cieux
Où le terme de souffrance
N'a aucune existence.
J'ai crié des années
Ai supplié en vain
Que l'on veuille m'écouter
Pour calmer mes demains
Je tire ma révérence
J'entre dans le silence
J'ai fermé mes oreilles
Je n'ai plus besoin d'elles
J'ai obturé mes yeux
Exit les jours heureux
Il n'y a de hasard
Je vous aime mais je pars.
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Rencontre inattendue, totalement imprévue
De cet Ami Poète, m'a mis le cœur en fête
Il vient chez les Zinzins discuter le matin
Et apporte le bonheur avec sa bonne humeur
Sa grande gentillesse me plonge dans l'allégresse
Il m'a offert des roses, j'ai vu la Vie en rose
Le soleil dans ses yeux, un parfum de ciel bleu
Il dit être amoureux, rend sa compagne heureuse.
Il prend une nouvelle route, n'a pas le moindre doute
Et a trouvé l'âme sœur pour une Vie de bonheur
Un sourire éclatant, savourant chaque instant
" Croque " la Vie à pleines dents, comme tous les Amants.
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J'ai habillé le ciel avec des cerfs-volants
Je les vois évoluer doucement dans le vent
Dessinent des arabesques dans le soleil couchant
Sur une plage de rêve dans un ciel rougeoyant.
J'ai allumé mes yeux pour voir un arc en ciel
Illuminé la nuit pour rejoindre mes rêves
Je me suis promenée dans cette voie lactée
Rayonnent les étoiles dans ce lieu enchanté
J'ai senti le soleil me caresser la peau
La brise s'est invitée comme un joli cadeau
En ce début de nuit où tout peut arriver
Je laisse mon esprit enfin vagabonder.
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